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A LA UNE

Stop au prof-bashing ! Stop au dénigrement des agents publics !

Tous mobilisés le 5 décembre 2024, pour dire : « Ça suffit : trop, c’est trop, nous ne sommes pas les boucs émissaires de la dette ! »

La Fep-CFDT appelle l’ensemble des personnels des établissements privés à se mobiliser le 5 décembre 2024, à rejoindre les cortèges ou les rassemblements organisés sur leur territoire, et à se mettre en grève.

Le gouvernement reste sourd à nos demandes et maintient son intention de mener à son terme les annonces scandaleuses suivantes :

  • dans l’Education nationale, suppression de 4000 postes d’enseignants dont 700 dans le privé sous contrat : 660 en 1er degré et 40 en 2nd degré.
  • suppression de la Gipa qui permet de compenser la perte du pouvoir d’achat si la rémunération n’a pas augmenté autant que l’inflation au cours des 4 dernières années.
  • passage de 1 à 3 jours de carence en cas d’arrêt maladie.
  • réduction de 10 % de l’indemnisation de l’arrêt maladie à partir du 4ème

Trop, c’est trop !

Les agents publics ne sont pas les boucs émissaires de la dette.

Mobilisons-nous en masse le 5 décembre 2024 !

Exigeons que le gouvernement renonce aux mesures annoncées !

Exigeons qu’il tienne enfin compte des urgences pour la fonction publique et ses agents : des réponses aux revendications salariales, des mesures pour garantir l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, des moyens pour redonner de l’attractivité à l’emploi public, des améliorations de la qualité et des conditions de travail !

« Agents publics : nous ne sommes pas les boucs émissaires de la dette ! »

Soyons nombreux à exprimer notre mécontentement !

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Participation CFDT Rouen à la Manif du 23 Novembre 2024 contre les violences faites aux femmes

Pour participer à l’action avec la CFDT, vous pouvez vous inscrire via ce lien framadate:

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Comme les syndicats du public, la Fep-CFDT et d’autres syndicats du privé sous contrat – CGT et Sundep – se mobilisent contre l’extrême-droite qui est aux portes du pouvoir.

L’extrême-droite va à l’encontre de nos valeurs. Son programme en matière d’éducation dégraderait les conditions de travail des équipes éducatives et la réussite de tous les élèves de nos établissements. Il porterait aussi atteinte au statut des enseignants et à la formation citoyenne des élèves.

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Les établissements privés sous contrat participent au service public d’éducation

La Fep-CFDT, première organisation syndicale dans le privé sous contrat, dénonce les propos blessants de la ministre de l’Éducation nationale à l’encontre des enseignants du public, avec lesquels nous sommes solidaires. La Fep rappelle que tous les établissements privés sous contrat avec l’État participent au service public d’éducation.

Ensemble, faisons vivre l’école de la République.

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Loi immigration : le décryptage de la CFDT

La loi immigration a été adoptée le 19 décembre. Elle est contraire aux valeurs de la Fep-CFDT et vient directement stigmatiser et enlever le droit à l’éducation à des jeunes scolarisés dans nos établissements. Concernant l’enseignement supérieur et la recherche, elle portera atteinte à la force qu’il tire de la mobilité internationale des enseignants et des étudiants.

Cette loi restera une tache sur notre démocratie et une injure à nos valeurs républicaines.

Cette déchéance de fraternité (retrouvez ici le décryptage de la loi proposé par la CFDT : il propose l’analyse de chaque article et un argumentaire pour démontrer en quoi cette loi s’oppose à nos valeurs) aura des conséquences graves pour l’école et la jeunesse.

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LYCÉE PROFESSIONNEL : LA FEP-CFDT APPELLE À LA GRÈVE LE 12 DÉCEMBRE

La FEP-CFDT s’oppose à la nouvelle organisation de l’année de Terminale qui doit s’appliquer à la rentrée 2024. Trop d’incertitudes demeurent en effet dans sa mise en œuvre. L’intersyndicale a claqué la porte du ministère lors de la réunion du 29 novembre.

Dans la nouvelle organisation de la classe de Terminale bac pro, les épreuves ponctuelles se dérouleront mi-mai. Le calendrier des six semaines de périodes de formation en milieu professionnel (PFMP) obligatoires et certificatives reste à la main des établissements et elles pourraient être positionnées en deux périodes, voire plus, pour maintenir l’alternance.

MODIFICATION DES VOLUMES HORAIRES

La grille hebdomadaire des enseignements de 31 heures verrait une augmentation des volumes des enseignements généraux de 10 %. Les heures complémentaires permettant les dédoublements seront pérennisées. La co-intervention, initialement menacée en seconde et en première, devrait être maintenue. Elle sera supprimée en terminale. Le volume horaire pour le chef-d’œuvre, dont les modalités et finalités seront revues, serait diminué de moitié. Cela permettrait donc, à moyens constants, de multiplier des enseignements à effectifs réduits en seconde et en première.
Un dispositif dit « en Y » est proposé après les examens : 6 semaines en PFMP gratifiées mais non certificatives pour préparer l’insertion ou 6 semaines pour préparer l’entrée en BTS.
Les heures d’enseignement professionnel passeraient à 10 h 30, contre 12 actuellement.

UNE RÉFORME BOUCLÉE À LA HUSSARDE, DES INTERROGATIONS MAJEURES SANS RÉPONSES

Les organisations syndicales du privé n’ont jamais été associées ni concertées sur cette nouvelle mouture de l’année de terminale. Elles ont été reçues, après les annonces de la ministre, le jeudi 22 novembre et uniquement parce qu’elles ont réclamé une audience en urgence pour avoir des réponses à leurs multiples interrogations. L’entrevue n’a permis d’obtenir aucune réponse précise de la part du ministère : rien sur la mise en œuvre précise du dispositif en Y, rien non plus sur les nouvelles modalités du chef-d’œuvre. Pire, lorsque nous avons mis en avant la baisse du nombre d’heures en enseignement professionnel, le ministère a laissé entendre que nous ne savions pas compter et a même essayé de nous le démontrer.

Beaucoup de flou aussi sur l’élaboration de la carte des formations et la Fep-CFDT a dû encore une fois rappeler que les enseignants du privé peuvent perdre leur emploi et être licenciés s’ils n’ont pas au moins un mi-temps. Les réponses très vagues du ministère ne n’ont pas du tout rassuré quant à l’avenir des collègues PLP.

L’ENSEMBLE DES ORGANISATIONS SYNDICALES ET LA FCPE CLAQUENT LA PORTE DE LA COMMISSION SPÉCIALISÉE DES LYCÉES

Mercredi 29 novembre avait lieu l’examen du texte de la réforme à la commission spécialisée des lycées.  L’ensemble des organisations syndicales ainsi que la FCPE, vent debout contre cette réforme menée dans la précipitation, ont décidé de quitter la séance. Elles demandent que le ministre renonce à ce projet dont les modalités de mise en œuvre ne sont pas précises. L’intersyndicale réclame que s’engagent rapidement de véritables concertations pour renforcer la voie professionnelle scolaire.

 

Peut être une image de nycticèbe et texte

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Harcèlement, lutte contre les discriminations : beaucoup d’annonces et peu d’effets

Le ministre déroule sa vision, en n’écoutant pas les acteurs et actrices de terrain, alors que des sujets importants nécessitent un travail en commun.

Dans trop de domaines, le pilotage de l’Éducation nationale se résume à beaucoup d’annonces et peu d’effets. En ce qui concerne le harcèlement, l’éducation à la sexualité, la volonté politique peine à se concrétiser sur le terrain.

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